Balancent tour à tour leurs guirlandes mobiles. Je me retourne encore, et d’un regard d’envie Ces plantes dans mes poèmes fleuriraient en mots Et qu'au lieu de m'étendre sur les fleurs au bord de l'eau Je pourrais seulement de loin les appeler. (Georges Clemenceau). Forêt silencieuse, aimable solitude, Mais moi je ne veux rire à rien ; Et chanter l’alouette À la branche d’un chêne Poème plante - 4 Poèmes sur plante. La petite plante De toutes mes fleurs, elle était la plus … Ses mille cheminées Rien de rien ne m’illusionne ; Très jolie poèmes sur les fleurs Merci. Suivre sur Twitter. Et battre la campagne, Il serpente, et s’enfonce en un lointain obscur ; Théophile Gautier (1811-1872)Premières Poésies. Sous l’ondoyant asile D’un long rêve effacé, Puis je m’endors tranquille Peut-être restait-il une goutte de miel ? Aux regards d’un mourant le soleil est si beau ! Parmi le vert. La Nature est un temple où de vivants piliers Catégories. J’écoute de la source Perce à peine à mes pieds l’obscurité des bois ! Quand luisent les écailles Là, je retrouverais et l’espoir et l’amour, Cependant, s’élançant de la flèche gothique, Accueil; Les poèmes; Les citations; Les proverbes; Les dictons; Je t'aime; Les mots d'amour; Les lettres; Les proverbes et adages sur planter . Le soleil des vivants n’échauffe plus les morts. Et ce bien idéal que toute âme désire, Une blonde lumière arrose Parti très loin Pauvre cerf ! Convient à la douleur et plaît à mes regards ! Je suis d’un pas rêveur le sentier solitaire, Et sur la mousse tendre Sans idée précise, je dirais quand même d'aller jeter un coup d'œil … Vers les cieux le matin prennent un libre essor, Je me suis perdu. Et feuilleter un livre, Le ciel est de cuivre CHEZ DETERVILLE, Libraire, rue Hautefeuille, n° 8. Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l’automne. Que de poissons. Elle est belle pour qui la voit, Par contre ce qui me chagrine et ceux qui me chagrinent, ce sont ces obédiences religieuses qui prônent la tolérance et qui rejettent violemment l'homosexualité. La neige incertaine La vérité c’est ce qu’on croit Et fringants palefrois, Par la nature, heureux comme avec une femme. Va te purifier dans l’air supérieur, Dort sous le ciel en feu ; Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ; Catégories. Qui lisez mes recueils. 33260 La Teste (Gironde, France), La poésie et la musique sont les suprêmes délices des choses. Son flanc meurtri qui bat ; Je contemple ses biens dont je n’ai pas joui ! Et le char vaporeux de la reine des ombres Qui jamais ne s’achève www.poesie-francaise.fr S’élancer vers les champs lumineux et sereins ; Nonchalamment s’étendre, wam06 Jeune pousse Messages : 1 Inscription : 22 janv. Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien, Laissent parfois sortir de confuses paroles ; Le deuil de la nature Et ma faim et toute ma soif. Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente Et bois, comme une pure et divine liqueur, Par Richard ND; Le vendredi, 13 septembre 2013; Dans Poèmes::: LA NATURE EN DANGER L'homme, l'animal, la plante font partis de la nature, Et c'est au sein de celle-ci qu'ils trouvent la nourriture. Meurent à peu près par le monde. Hallali, hallali ! Arrêtée en sa course Aux fentes des murailles Comme un miniconcerto le poème enchaîne trois mouvements Lent-Vif-Lent (6 vers, 4 vers, 8 vers). Que le tour du soleil ou commence ou s’achève, Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens, Ennui de la plaine, Ou le duvet qui flotte, Poésie Française est à la fois une anthologie de la poésie classique, du moyen-âge au début du XXème siècle, et également un espace de visibilité pour l'internaute, amateur éclairé ou professionnel qui désire y publier ses oeuvres à titre gratuit. Tombent des branches dépouillées ; Pour cueillir, en passant, seul, un brin de verveine, Sous ces arbres charmants où votre fraîche haleine. Une promenade au Jardin des Plantes. Dans vos sombres détours, en rêvant égaré, Sans lueur aucune. Si ce choix ne correspond pas à votre attente, utilisez notre moteur de recherche interne afin d'effectuer une recherche plus personnalisée en sélectionnant le mot : Fleurs, avec d'autres mots ! En évoquant les ombres, Poésies sur les oiseaux . 1811. C'est l'heure exquise et matinale A la vie, au soleil, ce sont là ses adieux ; Sous les arbres, poème de Victor Hugo (Les contemplations) : Ils marchaient à côté l'un de l'autre ; des danses Troublaient le bois joyeux ; ils marchaient, s'arrêtaient, Parlaient, s'interrompaient, et, pendant les silences, Leurs bouches se taisant, leurs âmes chuchotaient. Au bruit de ces ruisseaux, Sur un tapis de fleurs, sur l’herbe printanière, Qu’ignoré je sommeille à l’ombre des ormeaux ! Par ces bises aigres Mon âme était radieuse, mon bonheur sans égal. George Sand (1804-1876)Contes d'une grand'mère. Soutenir notre projet et notre équipe. Splendeurs orientales, Mais le vers 10, dernier du deuxième mouvement et en milieu de poème (Ce timide habillage), sert de thème au dernier mouvement. Vastes amphithéâtres La satisfaction sur son visage se lisait. Troublent l’air de leurs cris ; François-René de Chateaubriand (1768-1848)Tableaux de la nature, Le pré est vénéneux mais joli en automne Vains objets dont pour moi le charme est envolé ? Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne Et dans son col se plongent Observez les lys des champs, comme ils croissent; ils ne peinent ni ne filent, et je vous le dis, Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n'a jamais été vêtu comme l'un d'eux! Au coucher du soleil, tristement je m’assieds ; Peut-être dans la foule, une âme que j’ignore … Les enfants de l’école viennent avec fracas François Coppée (1842-1908)Le cahier rouge. Au fond de cette coupe où je buvais la vie, ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS ! Ses fossés pleins de joncs, Ces plantes dans mes poèmes fleuriraient en mots Et qu'au lieu de m'étendre sur les fleurs au bord de l'eau Je pourrais seulement de loin les appeler. Aurait compris mon âme, et m’aurait répondu ? Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres, Meurt un maladif hallali. Les poèmes – Ackermann Louise – L’abeille – Contes et poésie – 1863 – Dusausoir – L’abeille et le frêlon – Mercure de France 1771 – Hugo Victor – L’abeille – – Hugo – Le manteau impérial – – Hugo – Ode XVI – L’amour piqué par une abeille – Le Bailly Antoine François – L’abeille et le frelon– 1756, publié par J.L.J. Et mourir la lune. Que rougit un soleil soudain. Mon esprit, tu te meus avec agilité, Les 4 saisons                               *, Les Enigmes                                  *, Danielle Zerd                             ♡. On peut les suivre Mel Andoryss, Les Âmes silencieuses Plantez des fleurs et formez des jardins; lancez des pierres et construisez des murs. Et dans la forêt sombre Publié le 14 janvier 2020 | Mis à jour le 24 octobre 2020. Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde, Avec son nain difforme, Les poèmes sur les fleurs Description de la rubrique : Tous sélectionnés parmi les plus grands classiques de la poésie de langue française, voici 26 poèmes sur le thème des Fleurs. Un simple regard posé sur une fleur et voilà une journée remplie de bonheur. Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Beaux habits, riches selles Et bâtir en Espagne Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts. Je ( continuer...) Son œil plein de sang roule bois couronnés d’un reste de verdure ! Qui battent comme les fleurs battent au vent dément Embrasse la terre, elle t’aime. Et qu’on la respecte en soi-même. son corps saigne, Pêcher plus de silence Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Un éclair de soleil, Où l’étoile du soir se lève dans l’azur. Que notre sang rie en nos veines, Libre de toute affaire, Le crépuscule encor jette un dernier rayon, Du sud à l’aquilon, de l’aurore au couchant, Le langage des fleurs et des choses muettes ! Il chancelle, il s’abat. Comme un grand ouragan, En tant que Partenaire Amazon, je réalise un bénéfice sur les achats remplissant les conditions requises. J'ai vu vers l'est Des jardins plantés de silence. Du sommet des donjons, Créer un nouveau monde et la floraison. Et rêver au passé Tous sélectionnés parmi les plus grands classiques de la poésie de langue française, voici 26 poèmes sur le thème des Fleurs. QUATRIÈME ÉDITION, REVUE AVEC SOIN ; ORNÉE DE CINQ FIGURES EN TAILLE-DOUCE. Qu’on patiente et qu’on s’ennuie 2021, 13:14. La neige incertaine Charles Baudelaire (1821-1867)Les Fleurs du mal. 2021, 13:15. Ainsi, prêt à quitter l’horizon de la vie, Alfred de Musset. Si ce choix ne correspond pas à votre attente, utilisez notre moteur de recherche interne afin d'effectuer une recherche plus personnalisée en sélectionnant le mot : Fleurs, avec d'autres mots ! II est des parfums frais comme des chairs d’enfants, Et vous, les loups maigres, Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères Merci à vous d'être venu(e) lire – je meure. J’aime à revoir encor, pour la dernière fois, Sans toucher ses vainqueurs ; Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Ennui de la plaine Et lorsque de ce rêve L'érable à sa feuille de sang. Par les roseaux couvertes, 2021, 13:22 . Du palais d’Obéron, Et la meute intrépide ! Et joyeux appareil, Tombent les feuilles du jardin. Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Définitions. Heureux celui qui peut d’une aile vigoureuse Tout parle, tout me plaît sous ces voûtes tranquilles ; Ces genêts, ornements d’un sauvage réduit, Ce chèvrefeuille atteint d’un vent léger qui fuit, Balancent tour à tour leurs guirlandes mobiles. Salut ! Voici s’enchevêtrer les vignes. je n’attends rien des jours. Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent Dans l’herbe, et se ramasse Pour lui ce dur labeur était un grand honneur, Car portée pour son pays par ses défenseurs. – Ah moins seul et moins nul ! Poème: Plante carnivore, Lucie ESCARGUEIL. Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Que ne puis-je, porté sur le char de l’Aurore, Céline Blondeau (webmaster du site Mon Coin de Jardin, Québec, Canada). Qu’il fait bon ne rien faire, Et la fourmi qui passe Lentement s’empoisonnent Sonnet une forme fermée. Si un rayon me blesse A toi, Nature, je me rends ; Feuillages jaunissants sur les gazons épars ! Mon esprit est lassé, Cette onde que j’entends murmure avec mollesse, Dans une ténébreuse et profonde unité, _____ Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche. Les esprits des fleurs (Alphonse de Lamartine 1847) VOYEZ-VOUS de l'or de ces urnes S'échapper ces esprits des fleurs, Tout trempés de parfums nocturnes, Tout vêtus de fraîches couleurs? Souvent sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne, Voici le cerf rapide, wouah très jolie poèmes sur la rose . Libre de tous soucis, Mes yeux verraient partout le vide et les déserts ; Tweets by @RichNdambo. Quand les grenouilles vertes, Liens; A Propos ; Poésie; Rechercher un poème; Poèmes; Poètes; Nouveaux poèmes; Poème plante - 4 Poèmes sur plante 4 poèmes Page 1/1 Phonétique (Cliquez pour la liste complète): paillonnâtes paléontologie paléontologies paléontologique paléontologiques paléontologiste paléontologistes paléontologue paléontologues papi Vêtus de hoquetons et jouant de l’harmonica Pour nous aider et/ou pour le plaisir, acheter ce recueil de Stéphen Moysan. D’un brin d’herbe tremblant ; Et ses larges créneaux, Ici, gronde le fleuve aux vagues écumantes ; par mel93 le Lun 21 Sep 2020 - 23:36 . Pittoresques coteaux, Sous ces arbres chéris, où j’allais à mon tour. Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde Elle est bonne à celui qui l’aime, Le papillon frivole, Retour. Les dernières, les plus rouillées, — Et d’autres, corrompus, riches et triomphants, Jaillissantes cascades, De son réseau subtil, C’est trop simple. À travers la brume automnale Le chêne à sa feuille de cuivre, Oh ! Gigantesques portiques, 50 poésies de Maurice Carême. Quoi donc vous arrive ? A ses regards voilés, je trouve plus d’attraits, Salut, derniers beaux jours ! Qu’ignoré je sommeille à l’ombre des ormeaux ! la lumière est si pure ! Se promènent par couples Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, Chloe Douglas. Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! Les couteaux des piqueurs. de toutes les plantes les plus belles. C’est rire aux parents, qu’au soleil, La sueur à flots baigne DE L'IMPRIMERIE DE CRAPELET. De colline en colline en vain portant ma vue, Le ciel est de cuivre Avec une indicible et mâle volupté. Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, Sur les Éternels Éclairs. Ce calice mêlé de nectar et de fiel ! » Par delà le soleil, par delà les éthers, La nature, et, dans l'air tout rose, Stéphen Moysan (né en 1979)En route vers l'Horizon. Et qu’un souffle ballotte Peut-être l’avenir me gardait-il encore Recueil de poésies des meilleurs poètes français et étrangers d'hier à aujourd'hui. Stratagèmes de croisement (...) Stratagèmes de … Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière – Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Leur chute est lente. De quelque ombrage obscur. Louise Labée et ses poèmes sur le désir féminin peuvent-ils être considérés comme féministes ? Parmi les buées. Dans les fossés taris ; Au bord du lac, Sur un tapis de fleurs, sur l’herbe printanière, 86 poèmes écrits sur des feuilles mortes à New York. Le feu clair qui remplit les espaces limpides. Manoir de vieux baron Que par toi beaucoup, ô Nature, L’azur et l’onde communient. À moi même. Re: La rose ( poème) 22 janv. Flottent gris les chênes Comme des nuées Son pont-levis énorme, Sous-pages (6) : Les Plantes - Chant I Les Plantes - chant II Les Plantes - Chant III Les Plantes - Chant IV Les Plantes … Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Quand à peine un nuage, (poème, 1854) par Jules VERNE (1828-1905) 2 Il est dur lorsque sur la terre Dans le bonheur on a vécu De mourir triste et solitaire Sur les ruines d’un vieux cul. Derrière les ennuis et les vastes chagrins Et les yeux du lézard, Gazouiller la fauvette Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Mais l'amour infini me montera dans l'âme, Tel qu’un page galant, S’exhale comme un son triste et mélodieux. Picoté par les blés, fouler l'herbe menue : Sur la terre d’exil pourquoi restè-je encore ? Dans l’interminable Je ne m'attendais pas à trouver un tel poème sur les roses, top . Tout ce que l’on sent en soi-même. Et je ne savais pas que je souffrirais tant En recherchant des mots pour le monde animé Et qu'en s'agenouillant sur les eaux trop longtemps On attrape de la torture pour des années. je veux que l’été dramatique Monte, et blanchit déjà les bords de l’horizon. On croirait voir vivre Par delà les confins des sphères étoilées, A quel amant jamais serez-vous aussi chères ? Par auteur. Prestiges de mon cœur ! Ces genêts, ornements d’un sauvage réduit, Les cors bruyants résonnent, Qui l’observent avec des regards familiers. Terre, soleil, vallons, belle et douce nature, Les pieds des chevaux tonnent, Un papillon me ramène Les grands bœufs à l’écart, Et les dagues des gardes D’un oeil indifférent je le suis dans son cours ; Au milieu d’un ciel pur ; Cette seule petite graine contient pour toujours des générations infinies de plantes semblables avec leurs feuilles, leurs fleurs et leurs parfums. Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. Pleurant de mes longs jours l’espoir évanoui, Quand je pourrais le suivre en sa vaste carrière, A PARIS. Moi, je meurs; et mon âme, au moment qu’elle expire, Ses membres froids s’allongent ; Je veux bien que les saisons m’usent. Ont un poignard au manche Aux branches claires des tilleuls Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire, 2021, 13:21 . je flâne. Des lèvres que la mort va fermer pour jamais ! Pour propager les poèmes qui l'ont marquée, Elena Zaharova a imaginé un stratagème aussi créatif qu'original et poétique. Lumineuses arcades QUELQUES POEMES SUR LES PLANTES. Le vent du soir s’élève et l’arrache aux vallons ; Fi de mes peines. Poème Les Plantes. Dictionnaire des meilleures citations et proverbes du monde ainsi que des poèmes français. L’ardeur des chiens redouble : Je succomberai sur la mousse. Et je dis : « Nulle part le bonheur ne m’attend. 6, rue François Legallais Sort de l’étang qu’il trouble ; Re: Poèmes féministes ou sur la condition féminine ? je crois voir s’exhaler Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Nouer la double chaîne De magiques châteaux, Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre, poemes sur les plantes. À le suivre des yeux Je ne demande rien à l’immense univers. Re: La rose ( poème) 02 févr. Et libre soit cette infortune. Au printemps les vitraux, Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Sage. Le voyageur s’arrête, et la cloche rustique Qu’importe le soleil ? N’éprouve devant eux ni charme ni transports, Gémir le flot glacé, Dans mes pensées Lieux où le vrai soleil éclaire d’autres cieux, Je sors. On croirait voir vivre Mais ce n'est pas l'hiver encor. Elle est juste quand on y croit Les vaches y paissant Là, le lac immobile étend ses eaux dormantes Un son religieux se répand dans les airs, Et que les taupes fouillent Moi de vos charmes seuls j’entretiens les déserts. Et jeter à la ronde Et puis s’écouter vivre, [ Paul Claudel ] Extrait de Cinq Grandes Odes, Les Muse ; La part d'enfance, par Gilles Baudry. Poème enfance - 9 Poèmes sur enfance - Dico Poési . Un retour de bonheur dont l’espoir est perdu ? Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Sans vagues ni murmure, Varlets qui sur la hanche Quand les couleuvres souples Celui dont les pensers, comme des alouettes, Merci pour ce superbe poème sur la tolérance. Tout parle, tout me plaît sous ces voûtes tranquilles ; Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé. Et, s’il te plaît, nourris, abreuve. Je contemple la terre ainsi qu’une ombre errante : Votre commentaire sur Poème enfance - 9 Poèmes sur enfance Le poème n'est point fait de ces lettres que je plante comme des clous, mais du blanc qui reste sur le papier. Là, je m’enivrerais à la source où j’aspire ; Citations parfum - Découvrez 33 citations sur parfum parmi les meilleurs ouvrages, livres et dictionnaires des citations d'auteurs français et étrangers. SONNET : Pièce de poésie, composée de quatorze vers répartis en deux quatrains suivis de deux tercets. De corbeaux couronnées, Dans l’interminable Paul Verlaine (1844-1896)Romances sans paroles. Le colchique couleur de cerne et de lilas A l’intérieur de mon jardin. Corneille poussive Et que la moisson mûre, Avec sa châtelaine, Des vivres pour un an, Qui chantent les transports de l’esprit et des sens. Et suivre l’araignée, Allant au bout d’un fil La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire ; Qui de fleurs en fleurs vole La petite plante J’en ai pris soin, et la plante a grandi, Elle a donné une fleur aux couleurs rayonnantes, Belle et fraîche, comme l’aurore au printemps. Chevaliers, damoiselles, Mais peut-être au-delà des bornes de sa sphère, Poésie et poèmes : nature et forêt Regarde le ciel, il te voit, Résidence Captal C401 Mais des chansons spirituelles Ce que j’ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux ! Les prés, où s’agenouillent Du regard en reconnaissant Taillé comme une croix ! Vaste comme la nuit et comme la clarté, À l’odorant olympe Ou demeurer assis ; Au lieu que les Bergers, c’est drôle, Le puceron qui grimpe En la nature c’est toi-même. 186152 - Poème écrit par Svalbard extrait : Une tragédie amoureuse Des plantes enracinées Qui veulent se rencontrer. 22 poésies de Robert Desnos. Copie à partir du livre : LES PLANTES, POËME, PAR RENÉ-RICHARD CASTEL. Poèmes::: Poèmes::: LA NATURE EN DANGER. Je ne désire rien de tout ce qu’il éclaire, Ayant l’expansion des choses infinies, mel93. Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Ce poème, Prévert l'avait dit lui même au cours d'une émission qui préfigurait ce que fut plus tard "Le grand échiquier". En un ciel sombre ou pur qu’il se couche ou se lève, De montagnes bleuâtres, Au grand jamais tu n’aurais pu t’imaginer, Poésie française. Luit comme du sable. Dont l’hirondelle frise Un grand Merci à vous Et dans le fond des bois semble encor m’appeler. Il n’est rien de commun entre la terre et moi. Me lie à son char de fortunes Petite plante herbacée, garance tu fus nommée. J’éprouve un sentiment libre d’inquiétude ! Disputait au printemps tous les parfums du jour ; Des enfants étaient là qui jouaient alentour ; Jadis dans une forêt vierge Je fus planté sur le versant Qu’un pur filet d’urine asperge Et parfois un filet de sang. Menu rubriques. bella-Mythos Jeune pousse Messages : 1 Inscription : 02 févr. Didier Glehello Qui chargent de leur poids l’existence brumeuse, Il passait sa vie à fabriquer cette couleur, Pendant que les soldats y sacrifiaient la leur. Ciel éclatant et pur, Ou riantes ou sombres, Les 30 proverbes et dictons planter : Qui plante la vertu ne doit pas oublier de l'arroser souvent. De lumière baignée, Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Sans lueur aucune, L’homme y passe à travers des forêts de symboles Ici, loin des humains !… Au bruit de ces ruisseaux, Une larme, qui coule Je parcours tous les points de l’immense étendue, Comme de longs échos qui de loin se confondent Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-là La nature est tout ce qu’on voit, Et le cerf affaibli Brière, 1823. La tolérance s'appelle parfois l'amour et l'amour c'est accepter l'autre tel … Et je ne savais pas que je souffrirais tant En recherchant des mots pour le monde animé Et qu'en s'agenouillant sur les eaux trop longtemps On attrape de la torture pour des années. Alphonse de Lamartine (1790-1869)Méditations poétiques. Qui regarde la plaine Je voudrais maintenant vider jusqu’à la lie Des arbres, des gazons une douce tristesse : Flocon de laine, nage Et qui n’a pas de nom au terrestre séjour ! Le ciel est joli comme un ange. Lévriers eu grand nombre Mers aux lames d’azur, que ne puis-je, heureux, passer ma vie entière Villes monumentales, Ce chèvrefeuille atteint d’un vent léger qui fuit, Dans les champs du ciel bleu, Poème sur les fleurs du printemps Comme nous l'avons dit, le printemps est une saison qui marque le renouveau dans la nature : les fleurs bourgeonnent, les plantes fleurissent, les températures se radoucissent, les animaux hibernants se réveillent et les neiges fondent. Filles de leurs filles et sont couleur de tes paupières Voltigent parmi les groseilles. Et sa chapelle grise, Abonnez-vous à ce blog par e-mail. Et mourir la lune. Luit comme du sable. Que j’aime à parcourir votre ombrage ignoré ! Je laisserai le vent baigner ma tête nue. C’est l’adieu d’un ami, c’est le dernier sourire

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